Le peuple Russe fondateur de notre Europe Contemporaine ?

Quels défis m’offre la Russie, je n’en reviens pas moi-même. Le voyage à Moscou avec la mission économique de Jean Charest aura été sans aucun doute un grand moment dans ma modeste carrière de chef d’entreprise.

Il y a d’abord l’aspect purement professionnel avec les réceptions, l’organisation sans faille d’une équipe ultra efficace et entrainée, parée à toute épreuve et surtout les rencontres. Il y a encore les cartes d’affaire, les buffets, les opportunités d’affaire, les contacts, les présentations, le stress, la caféine, l’excitation, la chambre d’hôtel à 500$ la nuit et 20$ l’heure pour accéder à Internet.

Une succession d’instantanées qui se suivent dans un tourbillon infernal. Marie-Josée me l’aura fait remarquer le jeudi midi lorsque je suis arrivé en retard au buffet.

Ma présentation, même ratée à cause de PowerPoint, m’aura permis de faire connaissance avec une dame fort intéressante qui s’occupe du plan nordique de la Russie.

Et puis la région des Chukotka qui m’aura donné une magnifique opportunité de faire une proposition pour remanier leurs infrastructures télécom. Je suis bien curieux de voir ou cela me mènera.

Mais je retiens surtout ma crise nerveuse du jeudi soir lorsque je me suis retrouvé seul à l’hôtel. Les larmes qui coulaient le long de mes joues assis dans le restaurant en face de l’hôtel à siroter une bière. Dehors il faisait froid avec un peu de neige. J’ai eu la nette image de Jonathan Livingston le Goéland volant haut dans le ciel au-dessus de la place rouge. Je me suis senti seul, mais pas juste seul, complètement seul, très haut au milieu des flocons. J’ai eu un profond attendrissement et sentiment de compassion pour l’enfant que j’ai été. Les larmes coulaient par saccades. J’ai senti clairement ce mur de dénigrement et d’humiliation qui m’empêche de profiter de ma vie. Celui que mes parents ont érigé au fond de moi. Je l’ai senti, je l’ai vu et je l’ai touché. Pourquoi, en volant si haut dans des milieux politico-économiques, n’arrivais-je pas à ne ressentir ne serait-ce qu’un peu d’assurance.

Alors j’ai pleuré avec rage, je me suis vidé. Conjugué avec la fatigue et la faim, la crise s’est poursuivie jusqu’au matin. Pendant la nuit j’ai ressenti le besoin d’écrire un message d’amour.

J’ai été bien inspiré de décider de rester seul après le départ de la mission. J’avais besoin de temps pour me remettre de mes émotions. Tout est allé si vite, tellement vite. La course folle des représentations et des rencontres. Les mises en scènes savamment organisées par la mission me laisseront des souvenirs aussi riches en émotions qu’en termes de rigueur professionnelle. Mes spasmes ont redoublé d’intensité, j’avais également la nette impression d’avoir encore maigri et je ressentais une profonde fatigue nerveuse.

C’est alors que j’ai commencé à regarder autour de moi dans la rue, le défilé de la femme russe moderne à Moscou. Voilà un ballet qui dépasse en qualité tous les spectacles de télévision pour la simple raison que vous êtes partie intègre du décor. Je devrais dire plus précisément parce que je faisais partie du décor.

Regarder ces créatures marcher, vivre, parler, bouger, est soudain devenu pour moi un spectacle fascinant. Ce ne sont pas seulement des femmes mais des créatures de rêves qui se déplacent différemment avec une langueur étudiée, un sens parfait du geste, une féminité hyper développée, un gout parfait dans le choix des couleurs, et un regard fort, puissant et dévastateur. Le regard est la dernière limite du processus, c’est lui qui vous donne le coup de grâce, lorsque vous avez fini d’étudier celle qui croise votre chemin. La femme russe n’ignore personne, elle défie. Le regard est fort, ultra-puissant, il impose le silence. Il est l’ultime obstacle infranchissable entre vous et la beauté. Cette femme n’a rien d’un objet, elle cultive une forme hyper développée de la domination de l’homme dans le sens le plus avilissant. Elle semble nous dire : « tu peux essayer mais jamais tu n’y arriveras car cette beauté est intangible ». Pourtant le mythe si savamment mis en scène a parfois des ratés qui laissent une impression désagréable de trahison.

La femme russe, aussi belle soit-elle, est une créature paradoxale qui mélange la féminité la plus étudiée avec la vulgarité la plus crasse qui soit. Elle atteint la frontière entre l’irréel et le réel tout en oubliant parfois que finalement elle est bien faite de chair et de sang. La femme russe dans son déguisement guerrier, nous donne parfois des signes de son atavisme, de sa rudesse guerrière. Elle crache, elle jure, elle gueule, comme un charretier à qui on aurait essayé de soutirer de l’argent. Créature d’un autre monde, elle n’en est pas moins citoyenne de cette Russie en mouvement, terre de paradoxe, qui mélange la plus grande richesse avec la misère du pain noir.

Je marchais un peu perdu dans ce tourbillon de Noel dans les rues de Moscou sans trop comprendre. La solitude, la fatigue, l’absence de repères ont peu à peu désintégré mes protections. Je me souviens nettement avoir pensé que je voulais en posséder une, peu m’importait laquelle, mais au moins une. Je ressentais clairement le désir de la noyade.

Comment est-ce qu’on se noie à Moscou quelques jours avant Noel, alors que la température oscillait entre -25 et -18, la suite allait me donner des indications plus précises.

 En effet, inconsciemment ou pas, j’avais décidé de reprendre des cours de russe avec une prof particulière dans cette école Linden Denz, qui avait pignon sur rue à Moscou.

Le premier jour de mon arrivée, j’ai été invité à une petite soirée de Noel avec les filles du centre. Je dis les filles, car il n’y avait pour ainsi dire aucun homme pendant la soirée.

J’y suis allé, j’ai regardé, j’ai bu quelques verres de vodka avec du coca-cola, j’ai chanté sur les chansons de karaoke en russe et je suis rentré dans ma famille d’accueil pas trop tard avec des images de robes, de corps de femmes, de talons hauts.

J’ai eu plusieurs enseignantes durant ma semaine d’étude. D’abord il y a eu Marina, la responsable des cours, une belle jeune femme hyper dynamique, d’origine musulmane, qui enseigne la danse du ventre après les cours, qui prend des cours d’anglais et qui travaille en sciences économiques tous les soirs jusqu’à passé 11 heures. Je me souviens seulement que vers la fin de la journée, j’avais failli lui prendre ses mains pour les embrasser et les caresser tellement je les trouvais belles et féminines. Je me laissais tout simplement porter par le courant, comme un marin qui abandonne, comme Ulysse qui sait que le chant des sirènes approche. Les cours avaient perdu tout sens concret, je n’étais déjà plus vraiment maitre de moi-même.

Ensuite il y eut Tania, une femme mariée, tout à fait ordinaire, encore que même là je me souviens avoir été surpris combien elle faisait d’efforts pour tenir la distance dans cette compétition infernale que se livre la gent féminine à Moscou.

Et puis finalement, mercredi un peu avant midi, est apparue …Dasha. Pas celle de St-Petersbourg, non une autre Dasha, encore plus grande, plus belle, une créature d’un autre monde, en mission sur terre. Je me suis demandé si Dasha n’était pas leur nom de code. En la voyant arriver j’ai eu cette étrange impression de complot organisé. J’ai eu cette image comme si j’étais allongé sur mon lit d’hôpital et que c’était elle qui venait m’achever, en parfaite connivence avec sa consœur de St-Petersbourg. C’est la dernière lueur d’intelligence qui a illuminé mes pensées. Pendant la pause de midi, conscient de la métamorphose qui s’opérait en moi, je suis allé faire des accélérations dans le froid glacial pour me remettre à penser normalement mais il était trop tard. Ensuite la lumière s’est éteinte.

Dasha a 27 ans, elle est mince, grande et a de longs cheveux châtains. Elle a de superbes yeux verts-bleus arrondis au milieu d’un visage parfaitement pur et doux. Elle est calme et douce d’un premier abord mais je verrai plus tard que ce n’est qu’une façade. Dasha ressemble étrangement à Emmanuelle Béart dans Manon des Sources encore que parfois je me demandais si ce n’était pas Emmanuelle Béart qui avait certains points de ressemblance avec Dasha tant j’avais l’impression de me trouver à quelques centimètres de la source originelle de la beauté et de la grâce. Une des principales caractéristiques de séduction des créatures féminines russes réside dans leur manière de se mouvoir dans l’espace. Même assise dans une salle de classe, elles ne sont jamais passives : le corps, les yeux, les cheveux, les mains, surtout les mains agissent ensemble ou à tour de rôle comme la flute enchanté du charmeur de serpent. De manière très imagée, j’ai pensé au capitaine Albator sur son vaisseau spatial, envouté par les sylvidres, ces créatures ultra-féminines. De même je me suis imaginé Ulysse, attaché sur le mat de son navire qui s’apprêtait à écouter le chant des sirènes.

Dasha m’a expliqué la différence entre le verbe entendre et le verbe écouter. J’écoutais le son de sa voix sans rien entendre. J’ai passé les 2 premières journées à l’écouter en la regardant vivre et bouger. Chacun de ses mouvements était pour moi une source d’émerveillement, lorsqu’elle jouait avec ses cheveux et que je pouvais voir la base de sa nuque, lorsqu’elle remettait son châle sur ses épaules, lorsqu’elle me regardait avec son air faussement naif et enfantin, lorsqu’elle avançait ses deux mains parfaitement sculptées dans la nacre vers mon cahier.

Pendant 2 longues journées je suis entré en transe, dans un état de régression primal. Cette gamine de 27 ans qui n’avait pas un dixième de mon expérience de vie, m’expliquait la vie. A un moment je lui ai posé la question de savoir quel âge elle avait pour ainsi parler de l’union soviétique et de ses avantages, elle a rougit. J’ai eu finalement quelques éclairs de lucidité. Mais globalement je n’avais plus de cerveau, j’étais en état de dépendance, en fusion avec cette créature. Quelques semaines plus tard en analysant mes pensées je comprendrais que j’étais effectivement dans un état archaïque du développement psychique (selon une définition lue sur un site internet). Une absence complète d’esprit critique associée avec l’illusion d’avoir entrouvert la porte vers un univers de plaisir et de désirs possibles.

Toutefois mon expérience ancienne de la drogue me laissait présager un retour du balancier certainement très douloureux. Je connais trop bien l’univers des drogues pour ne pas me douter quelque part dans mon inconscient que toutes ces promesses étaient à nouveau la cruelle projection de mes fantasmes sur une pauvre créature terrestre qui n’a rien demandé à personne.

Je ne cessais de lui dire qu’elle était belle, que ses yeux étaient divins, que le son de sa voix était apaisant, que je voulais la revoir, là maintenant tout de suite, demain, dès mon retour à Moscou en janvier. Je concevais de magnifiques scénarios dans ma pauvre petite tête d’enfant malade et névrotique. Et devant cette escalade de folie, tout être humain normalement constitué ne peut rien faire d’autre que prendre peur. J’ai effectivement toutes les caractéristiques d’un fou lorsque je dérape de cette manière. Le monde extérieur n’existe plus que pour mes désirs.

Dasha est pourtant restée calme, mais de plus en plus distante. Elle a même commencé à être froide et méchante.

C’est donc le vendredi que le vent a tourné. En jargon technique, on parle du début de la descente quand on prend de la drogue. Sauf que dans la drogue, ce n’est pas comme au vélo, la descente c’est beaucoup plus difficile que la montée. Elle m’a parlé de sa mère qui la frappait, de son père violent qui pouvait passer une semaine complète sans dire un mot devant la télé. Elle s’est irritée de ce que je la trouvais si belle. Et finalement elle m’a suggéré d’offrir une ceinture pour battre mon fils s’il faisait des conneries. Je me rappelle bien de cet instant qui aurait du allumer toutes les sirènes d’alarme. Pourtant je n’ai rien dit ou si peu... Je me suis mollement défendu. Cette femme avait un contrôle complet sur moi mais pourtant elle n’en a pas profité. Elle m’a laissé glisser, elle m’a regardé descendre, froidement, sans un geste.

mon blog : https://cqmifr.blogspot.com/

pour réfléchir sur le sens : wiznotes

Hier j’ai trouvé une explication qui me satisfait pleinement. Cette phrase forme la conclusion d’un article de Jean-Luc Berlet sur le thème : la beauté peut-elle rendre fou ? 

La beauté rendrait fou parce qu’elle constitue la preuve irréfutable de l’existence d’un monde meilleur que nous avons perdu. Sa vision procure donc à la fois une jouissance et une souffrance : la jouissance du fait de son existence et souffrance du fait qu’elle nous est inaccessible…Le beau visage de l’être aimé nous manque toujours un peu même au moment ou nous le contemplons.

La beauté de cette femme est une illusion. Elle représente un terreau propice au développement de mon imaginaire ou de ma folie, c’est selon. Cette femme se voit soudain investie d’une mission que je lui confie sans lui demander son avis ni son consentement.

Pourquoi elle justement ? Pourquoi cette femme et pas une autre? A ce stade j’ai trouvé une autre explication assez intéressante sur internet qui parle d’un influx au niveau du cortex orbito-frontal (issu du même article que ci-dessus).

En poussant la réflexion un peu plus loin encore, et au vu de mes expériences antérieures, je suis convaincu que cette attirance n’est pas sans rapport avec l’acte sexuel proprement dit. L’éjaculation et le sentiment de jouissance associé me rapproche aussi de cet état primitif de béatitude. Voilà pourquoi la femme justement et non pas un paysage ou un tableau de Vinci. Parce qu’elle peut m’offrir cet accès là précisément, qui est parfaitement concret et en lien direct avec l’imaginaire.

Toujours est-il que vendredi après-midi je me suis retrouvé en phase de souffrance, confronté à l’impossibilité.

Tout d’abord même si une partie de moi réfutait cette hypothèse, l’impossibilité flagrante de démarrer une relation avec cette déesse aux yeux venus d’ailleurs. Elle m’a asséné deux ou trois remarques sur l’éducation qui aurait bien mérité une paire de baffe, même si je n’ai jamais été violent. Délibérément détachée et lourde, je pense même qu’elle s’évertuait déjà à me repousser ou alors à tester mes limites (je ne sais jamais faire la différence). La femme russe a besoin de savoir jusqu’à quel degré de soumission son potentiel mari est prêt à accepter pour prendre sa décision, c’est un fait. Il est vrai que je ne serais pas allé bien loin tant mon humeur et ma perception des contraintes environnantes avaient pris une tournure désarmante en cette fin de journée.

L’impossibilité est une notion très difficile à accepter dans mon mode de fonctionnement. Mon imaginaire est suffisamment fertile pour parer à toute éventualité. L’expérience montre cependant qu’il est parfois difficile de faire entrer des êtres humains de force dans notre imaginaire. Manifestement, Dasha n’y voyait aucun avantage, elle pouvait le sentir je pense mais n’en avait pas la moindre envie. J’imagine quand même qu’elle a du être flatté quelques instants. Mais je présente tout de même un certain nombre de symptômes inquiétants. Ca me rappelle la fois ou j’avais déclaré ma flamme à Emma, un an plus tôt, au restaurant. Elle m’avait froidement répondu sans sourciller que la mission que j’avais conçue pour elle dans mon cerveau n’était en rien synonyme d’une relation. Elle avait entièrement raison.

Dostoevsky à la rescousse 

Oui, l’impossibilité me crevait les yeux et une immense souffrance, vertigineuse, s’est alors imposée. Quelle cruelle désillusion de voir en face de soi cet univers de jouissance, cet oasis de vie et d’amour, de calme, de réconfort et toute-puissance, se transformer soudainement en purgatoire. Comme lorsqu’on sort de la salle de cinéma en plein soleil. Un peu comme votre trip d’acide prend un penchant imprévu désagréable. La réalité nous rattrape, la vague de l’imaginaire se retire pour laisser place à la cruelle réalité du temps présent. Le présent, tiens, vivre le temps présent. Toutes ces conneries qu’on entend à la radio. Pourquoi devrais-je vivre l’instant présent quand mon imaginaire est si riche et distrayant. Pour ne pas vivre ces moments de désillusion ?. Et si je partais vivre sur la planète Dasha entouré de Dasha nues, timides et soumises. Est-ce que je m’ennuierais vraiment ?

Dostoevski a écrit une nouvelle qui s’intitule : le songe d’un homme ridicule et que j’ai terminé de lire en rentrant de Moscou. Il y parle d’un homme suicidaire qui quelques minutes avant de se suicider fait un rêve merveilleux dans lequel il part sur une autre planète sur laquelle l’humanité est en toute chose bienfaisante. C’est la planète Dasha. Ce n’est rien d’autre que cet univers de régression archaïque de notre psyché qui nous renvoie aux sources de l’état omnipotent de fusion avec la matrice maternelle.

 

Donc en résumé vendredi à 14 heures je me suis réveillé. Et j’ai vu devant moi, une fille de la planète terre, qui m’a parlé de son père et de sa mère, qui m’a raconté des conneries sur la manière dont on appelait ses parents dans la famille russe. Je n’ai pas osé lui dire que ca m’indisposait, mais j’aurais du. Aujourd’hui je le regrette. Cela aurait été une belle fin. Au lieu de cela, je lui ai bafouillé une demande pour la revoir lors de mon prochain voyage, je l’ai supplié de la prendre en photo, tout était fini. Le sérum était injecté, l’infirmière me regardait tranquillement partir.

Ensuite j’ai pensé à elle sans la moindre interruption, persuadé qu’elle allait répondre à mon premier courriel, écrit quelques heures après mon retour à Montréal. Or elle ne m’a jamais répondu… Est-ce que j’ai moi aussi fait un songe ridicule ?

Au rayon des impossibilités, aujourd’hui je constate avec un peu plus de lucidité que mon impossibilité à moi, ce n’est pas tant la relation avec Dasha que l’impossibilité de réellement (au sens de la réalité) retrouver un état de fusion avec la mère nourricière. Cette image de désir et de jouissance personnifiée est une illusion. Voilà la triste et brutale réalité. Pourtant, la vie est ainsi faite que vivre l'amour ne serait-ce qu’une fois avec Daria me donnerait sans aucun doute une dose de drogue (et donc d’espoir) supplémentaire dans ma quête vers ce paradis artificiel. Donc si je suis arrêté dans mon élan par le refus de cette beauté russe, ce devrait être logiquement une chance. Pourtant en écrivant ces lignes, je n’y crois pas une seconde. Je serai convaincu, lorsque je l’aurai fait, pas avant. Ce n’est pas facile de lutter contre une drogue aussi forte. J’ai l’impression fugace parfois de toucher du clavier à la mère de toutes les drogues, celle qui alimente toutes les autres.

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